vendredi 25 juillet 2008

Brainstorming

-Trouver un système, un ensemble d’outils interagissant entre eux, afin de générer une architecture paramétrique.

-les paramètres de cet espace seront liés directement aux volontés « sensible » d’un groupe d’usagers.

- La définition de l’expérience des usagers est pour le moment exclusivement sensible.

-au vue de cette définition qui caractérise le « mieux » celui qui pratique l’architecture, il s’agirait bien de rejeter l’habitude destructrice des sentiments

-Un projet d’architecture fondé sur une approche sensible de l’expérience humaine amène inévitablement au recul du pouvoir décisionnaire de l’architecte sur l’espace. La place de l’architecte dans la création spatiale serait alors celle d’un chef d’orchestre, organisant entre elle un ensemble d’expérience humaine.

-L’expérience humaine étant du domaine du sensible, du subjectif, il n’est à priori pas possible de créer un système dans lequel serait injecté du « sensible » : la base de donnée spatiale (à l’image d’une sensibilité respective) servirait à créer le lien entre le système et le sensible.

- la base de donnée est faite de typologie spatiale « extraite » de bâtiment dont la fonction est de regrouper l’être humain et qui ont été pensé afin de générer une forte expérience spatiale (bâtiment religieux, mémorial, performance architectural…).

- Pour cette database, l’étude des bâtiment se fera à partir d’une ligne temporelle. Cette ligne temporelle sera commune à tous les bâtiments.

-L’architecture fut longtemps dicté par des ordres historiques, un mouvement se créant en réaction à un autre. Traversant l’histoire, la fonction se regrouper existe depuis toujours. Ces espaces « exceptionnel » on été pensé selon des ordres qui sont aujourd’hui lu à travers l’Histoire, contextuelle. Plutôt que de partir du contexte pour expliquer l’architecture, ne pourrait on pas partir de l’architecture, decontextualisé, pour arriver à une un synthèse spatiale fondé autour d’un paramètre inébranlable dans le vécu d’un espace : le temps. Cette synthèse spatiale permettrait alors de voir l’architecture, ou en tout cas celle à fonction de regrouper, à travers un point de vue : l’expérience spatio-temporelle. Un catalogue de ces bâtiments permettrait ainsi une première approche non pas de manière chronologique mais par typologie spatiale.
La deuxième approche serait de décrypter ces espaces à travers un filtre temporel. Comme un photogramme à 25 images/s provoquant l’illusion de l’animation, pour chaque bâtiment une ligne de temps adapté à l’espace est divisé par un certain nombre de « coupe ». La restitution de ces coupes doit provoquer l’illusion et la représentation d’une expérience spatio-temporelle. Au niveau de la représentation, cette « coupe » dépasse la simple coupe architecturale puisque elle intègre la perception.

Temps + espace = expérience


-créer une database dans laquelle le « client » pourra se créer son expérience

-Représenter le temps en architecture : clearbout

-approche phénoménologique de l’espace : Holl, Zumthor

- extraire les caractéristiques spatiales ayant des incidences sur la perception des usagers. Par la suite, ces caractéristiques devenues typologies spatiales pourront être assemblé dans un autre ordre.

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